En effet, le chantier avait été arrêté par l’entreprise chinoise COVEC au mois de juin. Le contrat a été repris par deux sociétés polonaises : le Consortium Boel & Krysl et Dolnoslaskie Raw Rock. Ces deux entreprises doivent se partager la construction d’un tronçon de 20 kilomètres. Les coûts des deux entreprises polonaises seront, cependant, plus élevés que ceux de la société chinoise.