"Les entreprises ont défini le type d'aide académique dont elles avaient besoin de la part des universités, ainsi elles pourront avoir une partie des technologies nécessaires pour l'exploration et l'extraction de gaz de schiste en Pologne et donc ne pas avoir à les importer," a précisé Mr Grazyna Piotrowska-Oliwa, le président du conseil d'administration de PGNIG.